top of page
Photo du rédacteurodilegendre

Lettre au Conseil Fédéral

Dernière mise à jour : 21 mai 2022

Je suis particulièrement fière d'avoir déposé cette plainte par l'intermédiaire de ce bureau d'avocat. Vous êtes invité à prendre connaissance du contenu.

Avocat et notaire Schroeter Schroeter

Jacques Schroeter

Avocat au barreau du Valais

Notaire

Stéphane Cappi

Avocat au barreau du Valais

Maîtrise en droit européen

Marie France Roux

Assistante


Recommandée

Aux membres du Conseil fédéral

Mme Karin Keller-Sutter

Mme Simonetta Sommaruga

Mme Viola Amherd

M. Ignazio Cassis

M. Ueli Maurer,

M. Guy Parmelin

M. Alain Berset

Aux membres du Conseil d’Etat du Valais

M. Franz Ruppen

M. Roberto Schmidt

M. Frédéric Favre

M. Mathias Reynard

M. Christophe Darbellay


Sion, le 9 janvier 2022/ js


Mesures Covid – « Probablement le plus gros mensonge de tous les temps »


Mesdames les Conseillères fédérales, Messieurs les Conseillers fédéraux, Messieurs les

Conseillers d’Etat,

Au nom des plus de 700 personnes qui se sont jointes à mon action, selon une liste que je

tiens bien volontiers à votre disposition, je vous adresse la présente lettre ouverte sous pli

recommandé afin que vous ne puissiez jamais dire « je ne savais pas » ou « j’ai été trompé ».

Nous sommes devant « probablement le plus gros mensonge de tous les temps ».

Ces propos ne sont pas de moi mais du Dr. Laurent TOUBIANA. Dans une interview télévisée

du 23 décembre 2021 sur la chaîne de télévision Cnews, ce chercheur à l’INSERM (institut

national de la santé et de la recherche médicale), un des rares épidémiologistes spécialisé

dans les maladies transmissibles, scientifique sans aucun conflit d’intérêts, a tenu ces propos

sévères. (https://youtu.be/C3zJrBJkXmY)


Jacques Schroeter


Avocat et notaire Page 2 sur 8

Mais la différence entre vous et nous, c’est que nous, nous subissons le mensonge, nous en

sommes les victimes, et vous, vous en êtes les défenseurs, les colporteurs, ceux qui le

mettent en pratique et qui, par conséquent, font tant souffrir la population.

S’appuyant sur des chiffres très officiels, le Dr TOUBIANA a relevé ce 23 décembre 2021 que

le nombre de malades Covid enregistré était de 40 malades en une semaine pour 100'000

habitants. Durant la semaine du 23 décembre 2021, ce fut en moyenne 12,9 admissions à

l’hôpital pour 100'000 habitants. Et pour les admissions en soins critiques, c’est seulement

2,8 admissions pour 100'000 habitants. Tout cela dans un pays qui compte 5'800 lits

d’hôpitaux pour 100'000 habitants. Concrètement, cela signifie qu’il y a 5'800 lits pour 12,9

admissions ! Ne trouvez-vous pas cela risible ! C’est une pandémie qui n’en est pas une selon

ce spécialiste : une pandémie orchestrée de toute pièce permettant de priver les citoyens de

leurs libertés fondamentales. C’est ce que vous avez fait.

Certes ce sont là des chiffres enregistrés en France, mais la situation doit être similaire, si ce

n’est meilleure en Suisse, puisque nos autorités se targuent généralement d’avoir l’un des

meilleurs réseaux de santé au monde. C’est en tous les cas l’argument utilisé pour nous faire

accepter les augmentations annuelles des primes maladies. Malheureusement, vous

choisissez d’ignorer les réalités qui vont à l’encontre de votre folle politique vaccinale et

vous nous bassinez toujours avec le même scénario rôdé de la peur, de l’encombrement des

hôpitaux (dont vous avez supprimé des lits), du nombre de personnes testées positives,

chiffre dont on sait qu’il ne veut rien dire, sauf peut-être à démontrer que la vaccination ne

sert à rien, ce que nous verrons plus loin. Mais la peur n’est-elle pas le meilleur moyen de

soumettre les peuples ? Cela, vous le savez parfaitement... et vous pratiquez cette

abominable politique. Pourquoi donc voulez-vous brimer votre peuple alors que vous êtes là

pour le servir ? Qu’est-ce que cette soumission vous procure au regard de la catastrophe

sociale et économique qu’elle entraîne ?

Et l’avis du Dr. Laurent TOUBIANA n’est pas un avis isolé d’un chercheur au fond de son

laboratoire, mais un avis corroboré par une tribune signée par 2'000 chercheurs et

professionnels de la santé, tribune malheureusement enterrée par les politiques, comme est

enterré tout avis contraire du dogme dominant dont vous vous faites les serviles défenseurs.

Je peux moi-même témoigner de cette dictature de la pensée unique. J’ai reçu il y a une

semaine un lien vers une interview télévisée du Dr. Christian PERRONNE, interview menée

par 2 journalistes, interview très intéressante dans la mesure où ce spécialiste en maladies

infectieuses indiquait en quoi la politique sanitaire actuelle faisait fausse route. Il relevait

notamment qu’il n’avait jamais reçu des autorités les rapports scientifiques à la base de

leurs mesures, rapports qu’il réclamait pourtant depuis longtemps. Je vous assure qu’il n’y

avait aucun excès, ni animosité, dans les propos de ce professeur. Ce spécialiste de

renommée mondiale s’exprimait de façon pondérée, s’appuyant sur des études sérieuses, ce qui l’amenait à avoir un avis contraire à votre manière de penser. Et bien, en voulant

visualiser à nouveau cette vidéo le lendemain, je n’ai pu le faire car elle avait été tout

simplement retirée du media.

Et vous savez qu’il en va ainsi de tous les témoignages et rapports qui vont à l’encontre de la

dictature sanitaire actuelle, dictature derrière laquelle se trouvent vos amis de la pharma.

Toutes les vidéos, tous les articles qui vont à l’encontre de votre pensée unique sont

systématiquement écartés. Et la presse, gavée de vos subventions, concrètement de notre

argent, ne fait que de servir cette dictature sanitaire.

Sous votre politique, les médecins ont reçu défense, sous peine de graves sanctions,

d’émettre des avis négatifs sur le vaccin. Ils ont reçu défense de prescrire des médicaments à la fois bien connus et bon marché, médicaments qui soignent et qui sauvent des vies, cela au profit du vaccin. Ils ont perdu leur liberté de prescription, liberté fondamentale à leur

activité. Ils sont contraints de ne pas respecter leur serment d’Hippocrate. Vous en faites des

machines à appliquer sans réflexion des directives dictées par une équipe de technocrates

que vous avez mis en place et qui n’ont aucune légitimité démocratique, technocrates qui

n’ont probablement jamais vu un seul patient dans leur vie et dont le seul but est de

vacciner toute la population au profit de la pharma. Le personnel soignant vit actuellement

dans la terreur. Lui aussi a reçu défense de se prononcer négativement sur le vaccin et a reçu

défense de révéler le nombre de personnes atteintes dans leur santé après avoir reçu la

potion que vous soutenez si assidûment. Sous votre autorité, il n’y a tout simplement plus de débat. Les principes fondamentaux de la démocratie sont systématique foulés, la démocratie se meurt, peut-être même est-elle déjà morte. Vous mettez en place exactement le contraire de ce pour quoi vous avez été élus. Et vous le savez au fond de vous-mêmes... et vous fermez volontairement vos yeux...


S’agissant de votre politique vaccinale, je vous rappelle que votre Equipe COVID-19 (de la

Confédération) m’a adressé personnellement le 3 septembre 2021 un courriel dans lequel

elle disait me rejoindre sur un point, en reconnaissant expressément « qu’on ne connaît pas

les effets à long terme » de la vaccination.

Voici donc le préliminaire certain (et que vous ne pourrez jamais réfuter) de la réflexion qui

va suivre : vous ne savez rien sur les conséquences à long terme de la vaccination.

Ce préliminaire étant rappelé, vous savez aussi que cette vaccination entraîne déjà de

nombreux effets immédiats indésirables et même un nombre appréciable de morts. Je

m’abstiens de vous rappeler ici ces nombreux effets que j’ai déjà relevés dans mes

précédents courriers et qui font aujourd’hui l’objet de très nombreux rapports scientifiques.



Selon les chiffres d’EudraVigilance (Agence européenne de recensement des effets

indésirables des vaccins Covid), ce sont 34'337 décès et 1'470'537 cas graves qui ont été

enregistrés au 18 décembre 2021, en sachant en outre que tous les cas ne sont pas

rapportés. Vous trouverez ces mêmes chiffres terrifiants auprès du VAERS, l’Agence

américaine qui recense les mêmes éléments.

Vous savez de plus que ce que vous appelez « vaccin » n’en est pas un. C’est une nouvelle

thérapie qui n’est encore qu’en phase de test, soit un produit réalisé dans la précipitation et

dans des délais qui n’ont rien à voir avec ce qui se fait d’ordinaire pour un vaccin.

En autorisant ainsi une « vaccination » en phase de test, vous acceptez que vos citoyens

participent à une expérience médicale.

Mais en les obligeant à se faire vacciner, vous forcez ces citoyens à participer à cette

expérience scientifique, ce qui aggrave encore la situation.

Résumons donc : vous obligez vos citoyens à participer à une étude médicale pouvant

entraîner de graves effets immédiats sur leur santé et pouvant entraîner même la mort, en

ignorant de plus tout sur ce qui pourrait leur arriver à long terme. Bien triste tableau, ne

trouvez-vous pas ?

Mais ce n’est pas tout.

Vous savez qu’en médecine on ne vaccine jamais les femmes enceintes ou, si on le fait, ce

n’est qu’après des études très poussées qui durent généralement une vingtaine d’années.

Tous les médecins spécialistes le disent. Or, sous votre autorité et avant même la fin des

phases de test, vous poussez aujourd’hui les femmes enceintes à se faire vacciner. Quelle

horreur ! Avez-vous conscience que ces femmes ont dans leur ventre notre avenir et que

vous leur demandez, à elles, de prendre des risques dont vous ne savez rien sur le long

terme, risques dont vous avez par ailleurs exonéré la pharma ?

Plus grave encore, vous êtes maintenant partis dans une campagne de vaccination des

enfants. Or, vous savez que les enfants ont une immunité naturelle très forte qui fait qu’ils

ne sont que très rarement malades du Covid et que s’ils le sont, ils ne développent qu’une

forme bénigne de la maladie. Par contre, on sait qu’ils sont tout aussi sensibles aux effets

indésirables de la potion. Ainsi, vous acceptez aujourd’hui que les enfants de votre pays

soient les cobayes d’une expérimentation scientifique qui rapporte des milliards à vos amis

les pharmas, amis qui, pour avoir triché, ont déjà été condamnés à des peines de plusieurs

milliards de dollars. Drôle de manière de diriger un pays ! Que direz-vous aux enfants qui

auront peut-être à supporter toute leur vie les conséquences fâcheuses de la potion, enfants

qui auront alors été sacrifiés au profit des juteux bénéfices des pharmas ?

Cela nous amène à de premières conclusions : vous demandez à vos citoyens, femmes

enceintes et enfants compris, de participer à une expérimentation scientifique pouvant

entraîner de graves effets immédiats sur leur santé et pouvant entraîner la mort, en

ignorant tout sur ce qui pourrait leur arriver à long terme...

N’est-ce pas tout simplement monstrueux ?

Et vous vous gardez bien de ne pas exposer cette triste réalité à vos citoyens, comme il est

pourtant de votre devoir de le faire. Vous savez du reste parfaitement que si vous le feriez,

le dogme mis en place volerait tout aussitôt en éclat.

Avez-vous entendu parler du principe de précaution ? Et celui du consentement éclairé ?

Que ferez-vous si toute une partie de la population devait à terme mourir ou se retrouver

avec de graves problèmes irrémédiables de santé ? Que direz-vous alors à toutes ces

personnes et à leurs proches qui vous auront fait confiance ? Que vous ne saviez pas ? Non,

parce que vous le savez ; de se retourner vers les pharmas que vous avez d’ores et déjà

exonéré de responsabilité ?

Je vous vois déjà vous retrancher derrière les directives de l’OMS, de l’OFSP ou d’autres

institutions du genre. Mais, vous savez très bien que ces institutions sont composées de

personnes en lien avec la pharma, de technocrates qui présentent de graves conflits

d’intérêts. Vous avez évidemment connaissance de ce fameux accord passé en 2009 avec

GAVI, accord plus que léonin puisque vous, les dirigeants, avez conféré à cette organisation

(qui promeut les vaccins et à l’origine de laquelle se trouvent ceux qui financent les

institutions dont vous suivez les directives) les avantages les plus étendus et une totale

liberté, sans aucune contrepartie en échange. GAVI pourrait avoir des cadavres dans ses

armoires, blanchir tout argent, que vous ne pourriez intervenir puisque vous vous êtes

engagés à ne pas le faire. C’est quoi pour un accord celui dans lequel vous donnez tout et ne recevez rien ? Est-ce responsable de la part de dirigeants de tout offrir sans rien obtenir en échange ? Aujourd’hui, devant la misère qui s’installe sous vos yeux et devant la destruction du lien social, votre devoir est de réagir, d’examiner par vous-mêmes la situation, puis d’avoir le courage de prendre des mesures qui soient le fruit de votre réflexion et non pas de vous retrancher devant la solution de facilité qui consiste à appliquer aveuglément les directives d’organismes qui ne sont pas indépendants. Faites une chose toute simple :

regardez ce qu’était votre pays au moment où vous êtes entrés en fonction et regardez ce

qu’il est aujourd’hui. C’est une catastrophe. Votre devoir est de réagir pour le bien de votre

peuple et non de vous retrancher peu courageusement derrière des directives destructrices.


Venons-en maintenant à votre dernier cheval de bataille visant à alimenter le climat de

terreur savamment entretenu depuis bientôt 2 ans. Le variant « Omicron », variant qui vous

a permis de nous gâcher ces récentes fêtes de fin d’année.

Selon un récent rapport de l’Institut Robert Koch, les cas Omicron en Allemagne sont

constitués à raison de 95,58 % de personnes complètement vaccinées (dont 28 % avec déjà

une dose de rappel) et seulement 4,42 % de personnes non-vaccinées. Confrontés à cette

gênante disproportion, vous me tiendrez probablement le langage officiel usuel disant qu’il

est normal d’avoir plus de cas chez les vaccinés dans la mesure où ces derniers constituent

une plus grande partie de la population. C’est là que le regretté Coluche va terriblement

nous manquer ! Imaginez ce personnage un peu simplet, aux pommettes rouges et en

salopettes, manifester son étonnement par de grands yeux ronds. Imaginez ce personnage

vous poser alors la question qui désarçonne : « mais à quoi sert donc le vaccin si on peut

chopper le virus ? » C’est clair, net et précis ! C’est tellement évident que vous devez vous

forcer à fermer les yeux pour ne pas le voir ! Cela ne marche pas... et vous de continuer ...

Comme le métier de politicien est un métier sérieux, aux antipodes de l’humour

franchouillard, il se pourrait que certains d’entre vous se lancent dans une réflexion plus

poussée et se renseignent sur la proportion effective des personnes vaccinées en Allemagne.

Elles découvriraient alors qu’elle est de 71,1%. Quelle sainte horreur ! En effet, parce que s’il

devait y avoir autant de cas Omicron chez les vaccinés que chez les non-vaccinés, nous

devrions avoir 71,1% de cas chez les vaccinés et 28,8% de cas chez les non-vaccinés. Mais en

ayant le 95,58% de cas dans la population vaccinée de 71,1%, cela signifie que les vaccinés

sont plus susceptibles d’être contaminés au variant Omicron que les autres. Avec une

population de 28% mais ne constituant que le 4,42% des cas, cela signifie à l’inverse que les

non-vaccinés ont moins de chance de se faire contaminer que les vaccinés. Donc en l’espèce

les vaccinés sont plus susceptibles d’être infectés que les non-vaccinés. Cherchez l’erreur !

Elle n’existe tout simplement pas. Elle n’est que dans le discours officiel que vous soutenez.

Et là, le regretté Coluche, amusé et souriant, vous proposerait d’instaurer un Pass non pas

pour les vaccinés, mais pour les non-vaccinés !!!

Peut-être direz-vous encore que le cas de l’Allemagne est un cas isolé ? Que nenni ! En

Angleterre, on retrouve le même phénomène. En Israël également. A Malte, Omicron règne

en maître alors que tout le monde est vacciné. En Suisse, les cantons qui connaissent les

moins de cas sont ceux qui ont le moins vacciné. Plus généralement, si vous prenez la peine

de superposer la carte du monde avec celle des pays connaissant de nouvelles vagues de

contamination, vous constaterez que ce sont les pays qui ont le plus vacciné qui sont les pays

les plus touchés. Vous constaterez aussi que ce sont dans les pays qui n’ont pas eu les

moyens de s’offrir la potion et qui ont soigné avec les médicaments existants qui se portent

le mieux.


Ceci n’est évidemment pas une surprise. Il y a longtemps que les spécialistes disent qu’une

vaccination entraîne le développement de nouveaux variants et cela se vérifie pleinement en

l’espèce.

Vous savez également, puisque cela est maintenant unanimement reconnu, que la potion

que vous imposez n’empêche pas la maladie ni sa propagation. Aussi il est rappelé à votre

bon souvenir, si besoin était, qu’un vaccin est fait pour protéger d’une maladie et pour

empêcher sa transmission, et qu’un produit qui ne fait ni l’un ni l’autre, qui plus est peut

entraîner de graves atteintes à la santé et même la mort, et qui favorise même l’infection,

n’a absolument rien à voir avec un vaccin. Et c’est malheureusement ce produit que vous

défendez.

Ce triste tableau démontre que vous avez mis en place une idéologie qui s’écarte de plus en

plus du réel. Mais plutôt que de le reconnaître, vous vous enfoncez toujours plus dans ce qui

est malheureusement devenu un dogme. Tout doit servir à la défense de cette idéologie.

Qu’importe les droits fondamentaux ! Qu’importe les principes de la démocratie !

Au service de cette idéologie, vous avez mis en place une fracture sociale qui s’est même

installée jusqu’au sein des familles. Vous le savez et ne faites rien pour l’empêcher. Vous

avez fait passer l’idée que ceux qui n’adhéraient pas à votre dogme étaient des mauvais

citoyens, des citoyens de seconde zone. Réveillez votre conscience ! Trouvez-vous anormal

de refuser de participer à une expérimentation scientifique qui ne protège pas de la maladie

et qui présente de graves risques pour la santé ? La réponse est évidemment non. Alors

pourquoi donc créer cette fracture sociale qui ne fait que des malheureux dans les 2 camps ?

C’est dramatique. Je rappelle que l’un des vôtres, Monsieur Christophe DARBELLAY, s’est

même permis de dire publiquement sur une chaîne de télévision qu’on (en l’espèce les

dociles citoyens vaccinés) étaient tenus en otages par les non-vaccinés. Etait-il nécessaire,

après toutes les erreurs commises, de diffamer les personnes ayant simplement donné suite

à leurs doutes ? Ou faut-il y voir là plutôt le cri de colère d’une personne arrivée à cours

d’arguments ? Ce qui est insoutenable et ce quelque en soient les motifs, c’est de créer 2

classes sociales, de diviser son peuple. L’histoire nous a déjà montré que cela pouvait

déboucher sur les pires exactions. Et le rôle prioritaire d’un responsable politique est

d’assurer le bien vivre ensemble et non d’alimenter une discrimination pouvant déboucher

sur le pire, comme c’est malheureusement le cas actuellement.

Cela fait des siècles que notre pays n’a pas connu pareille dissension. Vous mettez en place

exactement ce contre quoi notre nation s’est érigée et s’est constituée : la lutte contre la

tyrannie.


Dans cette lettre, j’aurais bien encore voulu traiter du volet juridique du dossier Covid afin

de vous exposer en quoi toutes les mesures prises et que vous soutenez de façon si

obsessionnelle sont illégales et anticonstitutionnelles.

Cela rallongerait cependant de beaucoup ce propos, si bien que je me permets de vous

renvoyer simplement à la déclaration des juristes suisses qui a été adressée le 24 décembre

2021 au Conseil national et au Conseil des états, déclaration qui est certainement en votre

connaissance. Ce document signé par plus d’une centaine d’avocats et de juristes explique

en quoi vos mesures sont anticonstitutionnelles. Lisez-le.


C’est ainsi l’heure de terminer ces quelques développements et de compléter les premières

conclusions formulées en deuxième partie de cette lettre.

Vous demandez à vos citoyens, femmes enceintes et enfants compris, de participer à une

expérimentation scientifique pouvant entraîner de graves effets immédiats sur leur santé

et pouvant entraîner la mort, en ignorant tout sur ce qui pourrait leur arriver à long terme,

en sachant que le produit promu ne protège pas contre la maladie, ni sa transmission et en

traitant de mauvais citoyens ceux qui ne veulent pas vous suivre dans cette politique

insensée et destructrice.

Ne pensez-vous pas qu’il est grand temps de reprendre raison et de faire ce pourquoi vous

avez été nommé : la défense de la démocratie, la défense des citoyens et la défense des

libertés fondamentales. Soyez tranquilles, vous aurez un jour à répondre de vos actes car le

peuple est en train de se réveiller. Et si par le climat de peur mis en place, vous arriverez à

prolonger son sommeil, il se réveillera tout de même un jour ...

Je vous invite, Mesdames et Messieurs, à ne voir dans cette lettre aucune agression mais le

cri de souffrance de citoyens qui aimeraient tant avoir confiance en ses autorités.

Veuillez agréer, Mesdames les Conseillères fédérales, Messieurs les Conseillers fédéraux,

Messieurs les Conseillers d’Etat, mes salutations distinguées.


Jacques Schroeter, avt.


Copies : aux mandants

51 vues0 commentaire

Comentários


bottom of page